Voyagez dans une astrologie
qui vous transformera intérieurement...

C’était il y a longtemps, très longtemps… Oui, dit comme ça, ça fait un peu Star Wars ! J’aurais même pu ajouter…dans une lointaine galaxie. Certes, la perception du temps peut être subjective ; mais c’est mon ressenti.

J’avais 7 ans.

Je l’ai suivie. En même temps, à cet âge-là, a-t-on le choix ? Ses jambes avaient beaucoup plus d’amplitude que les miennes et je devais bien faire trois pas quand elle n’en faisait qu’un !

Je ne savais pas encore ce qui allait m’arriver. Pas plus ce que j’allais découvrir. La vie nous réserve parfois bien des surprises ; et celle-ci en était une bonne.

Je pourrais presque dire que quelque chose m’appelait. Pas une voix, non. Plutôt un frémissement, un pressentiment. Mais ça n’a pas vraiment été le cas.

J’étais juste dans un coin (pas celui de la classe, je vous rassure ! Quoique…).

Autour de moi, il y avait des gens qui discutaient de choses étranges et sibyllines dont je ne comprenais rien.

Un langage inconnu ?
Ça tombe bien. J’ai toujours adoré les mystères ! Pas très original pour un plutonien me direz-vous !

Je crois que, d’une certaine façon, je sentais que ce langage était captivant et passionnant ! Un langage qui était peut-être une porte à ouvrir…

Et puis des livres.

C’est à cette époque que j’ai posé ma première question au cosmos et aux étoiles.
Et que, sans le savoir, j’ai attendu leur réponse toute ma vie. Parfois, vouloir savoir, vouloir comprendre, c’est le chantier d’une vie…

Le destin aurait pu s’arrêter là.
Juste un jour.
Juste un enfant.
Juste des gens.
Juste des livres.

Je suis venu une fois. Puis une deuxième, une troisième et plus encore…

Pour moi, c’était du dessin.

Quel drôle de dessin !

Ce Cours Emile Zola était presque un nouveau chez moi. Du moins ce qu’il renfermait… Un monde tellement vaste dont je ne pouvais voir les limites. Un monde infini.

Ce n’est que plus tard que j’ai pu mettre un nom sur toute cette expérience : un drôle de bonhomme, Dane Rudhyar et sa fameuse astrologie humaniste. Un homme passionnant qui était un mélange de musique, de peinture, de philosophie, de lettres, d’ésotérisme à sa façon et d’astrologie… Une astrologie moderne, humaniste, née dans les années 1920 d’une rencontre entre Dane Rudhyar et Marc Edmund Jones dans un parc californien ; un homme tout aussi passionnant à qui on doit les fameux degrés sabians.

Les années ont passé, et cette rencontre est devenue un chemin. L’astrologie humaniste n’a jamais été une science pour moi, ni un jeu de prédictions. Elle a été une initiation, une clé vers un autre regard sur le monde – et sur moi-même​. Elle est aussi un voyage sans fin…

Aujourd’hui, les astres, les étoiles et les astéroïdes continuent de murmurer à mon oreille, et je traduis leurs symboles et leurs mots à ceux qui cherchent et qui sont, comme moi, des « cherchants » qui aspirent à devenir des femmes et des « hommes de désir », pour reprendre une notion chère à Louis-Claude de Saint-Martin.

Peut-être êtes-vous de ceux-là ?